3,016 research outputs found

    Combining Analytic Preconditioner and Fast Multipole Method for the 3-D Helmholtz Equation

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    International audienceThe paper presents a detailed numerical study of an iterative solution to 3-D sound-hard acoustic scattering problems at high frequency considering the Combined Field Integral Equation (CFIE). We propose a combination of an OSRC preconditioning technique and a Fast Multipole Method which leads to a fast and efficient algorithm independently of both a frequency increase and a mesh refinement. The OSRC-preconditioned CFIE exhibits very interesting spectral properties even for trapping domains. Moreover, this analytic preconditioner shows highly-desirable advantages: sparse structure, ease of implementation and low additional computational cost. We first investigate the numerical behavior of the eigenvalues of the related integral operators, CFIE and OSRC-preconditioned CFIE, in order to illustrate the influence of the proposed preconditioner. We then apply the resolution algorithm to various and significant test-cases using a GMRES solver. The OSRC-preconditioning technique is combined to a Fast Multipole Method in order to deal with high-frequency 3-D cases. This variety of tests validates the effectiveness of the method and fully justifies the interest of such a combination

    Evaluating the Cephalonia method of library induction

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    This is a PDF version of an article published in SCONUL Focus© 2007. SCONUL Focus is available online at http://www.sconul.ac.uk/publications/newsletterThis article discusses the results of a survey carried out at the University of Chester library into student feedback of the Cephalonia method of library induction

    Regulation of virulence in Francisella tularensis by small non-coding RNAs

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    Using a cDNA cloning and sequencing approach we have shown that Francisella tularensis expresses homologues of several small RNAs
(sRNAs) that are well-conserved among diverse bacteria. We have also discovered two abundant putative sRNAs that share no sequence similarity or conserved genomic context with any previously annotated regulatory transcripts. Deletion of either of these two loci led to significant changes in the expression of several mRNAs that likely include the cognate target(s) of these sRNAs. Deletion of these sRNAs did not, however, significantly alter F. tularensis growth under various stress conditions in vitro, its replication in murine cells, or its ability to induce disease in a mouse model of F. tularensis infection

    Endoplasmic Reticulum Stress: At the Crossroads of Inflammation and Metabolism in Hepatocellular Carcinoma Development

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    Steatohepatitis is a cause of hepatocellular carcinoma development; however, the underlying mechanisms are poorly defined. In this issue of Cancer Cell, Nakagawa and colleagues demonstrate that activation of endoplasmic reticulum stress signaling is instrumental in the development of steatohepatitis and synergizes with proinflammatory pathways to promote hepatocarcinogenesis

    Les marchés du travail dans la crise

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    Principale conséquence de la crise économique que nous traversons, la situation du marché du travail s’est fortement dégradée dans l’ensemble des grands pays développés. À l’exception de l’Allemagne, le rythme de hausse du chômage au cours de cet épisode récessif a été deux fois plus violent que celui observé au cours des « petites » crises précédentes. Ce fort impact sur le chômage masque pourtant une relative résistance face à un choc de production d’une ampleur sans précédent depuis les années 1930. Cette résistance du chômage tient d’abord à l’impact encore faible et inachevé de la crise sur l’emploi. Elle s’explique aussi par les comportements d’activité qui amortissent traditionnellement les chocs d’emploi du fait du découragement induit d’une partie de la population active. Nous détaillons la réaction des marchés du travail dans sept grands pays : Allemagne, France, Italie, Espagne, Royaume-Uni, États-Unis et Japon. Dans un premier temps, nous montrons qu’à l’exception de l’Espagne et des États-Unis, l’ajustement de l’emploi n’y est pas achevé. Puis, nous montrons que les écarts d’ajustement de l’emploi s’expliquent en partie par le recours à la flexibilité interne des entreprises (modification du temps de travail et des coûts salariaux). Enfin, nous analysons l’impact de la dégradation du marché de l’emploi sur le chômage en étudiant les comportements d’activité. Il convient toutefois de garder à l’esprit que la crise est loin d’être terminée, et que les chiffres disponibles sont encore provisoires. Ce n’est qu’à la fin du cycle que l’on saura si les marchés du travail ont réagi différemment à la crise actuelle.As a consequence of the economic crisis, the labor market situation has deteriorated sharply in major developed countries. However, the increase in unemployment masks a relative resistance to an outstanding production shock. This resistance is primarily due to the low and incomplete adjustment of employment. It is also related to changes in activity rates that traditionally absorb employment shocks because of workers discouragement. We detail labor market reaction in seven major countries. We first show that, except for Spain and the United States, the employment adjustment is not finished yet. Then, we show that differences in employment adjustment can be partly explained by internal flexibility (changes in working time and labor costs). Finally, we analyze how the deterioration of labor market impacts unemployment by studying activity behaviors

    France : ajustements graduels:Perspectives 2014-2015 pour l'économie française

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    En 2013, l'économie française a connu une croissance de 0,3 % en moyenne annuelle, ce qui lui a permis de retrouver en fin d’année le niveau de production atteint six ans plus tôt. Entre 2008 et le début de 2011, l’économie française a bien résisté : au premier trimestre 2011, le PIB français avait même quasiment retrouvé son niveau d’avant-crise et n’accusait que très peu de retard vis-à-vis de l’Allemagne et des États-Unis. La donne a changé à partir du deuxième trimestre 2011 lorsque les premiers effets de la politique de rigueur sont apparus. La dynamique de reprise s’est interrompue : l’activité a alors connu une croissance annuelle positive, certes, mais proche de zéro jusqu’en 2013. Depuis quelques mois, le paysage conjoncturel s’est notablement éclairci en Europe avec un retour de la croissance et un raffermissement des indicateurs conjoncturels. Pour ce qui est de la France, les enquêtes de conjoncture témoignent également d’un retour de la confiance dans les secteurs productifs. Le relâchement de l’austérité permettra à l’économie française de prolonger ce mouvement positif : en 2014 et 2015, le PIB français croîtrait respectivement de 1,2 et 1,6 %. L’écart de production se refermant à peine, la phase conjoncturelle en cours et anticipée ne peut être qualifiée de reprise. Les entreprises profiteront de ce regain de croissance pour restaurer progressivement leur situation financière. Cette stratégie repose prioritairement sur l’augmentation de la productivité qui permettra de résorber les marges de capacité de production et de restaurer le taux de marge des entreprises. Le taux de chômage en France métropolitaine augmenterait légèrement pour s'établir à 10,1 % fin 2015. Il s’élèverait à 10,5 % pour la France entière. La contrepartie à l’allègement de la rigueur est un déficit public plus élevé que ce qui avait été initialement programmé. Celui-ci devrait s’établir à 3,7 % du PIB en 2014 et 3 % en 2015. 1. Cette prévision a été réalisée à l’aide du modèle trimestriel de l’économie française

    DĂ©flation sous-jacente

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    La crise économique débutée en 2008 s'est traduite par un choc d'activité conduisant au ralentissement de l'inflation et à la montée du chômage dans la plupart des pays développés. Ce choc inédit depuis 1945, parfois accompagné de baisses des prix ou des salaires dans certains pays, a fait ressurgir le spectre de la déflation puisqu'une hausse importante du chômage pourrait enclencher la déflation via la boucle salaires-prix. Les pays développés ont alors été confrontés au risque de tomber dans une spirale de déflation par la dette, spirale qui avait nourri la grande crise de 1929. Face à ce risque, les gouvernements et les banques centrales ont mis en oeuvre un ensemble de politiques monétaires et budgétaires de soutien de l'activité. Ces politiques ont permis d'écarter jusqu'à présent la réalisation du risque déflationniste. Les entreprises ont aussi ajusté leur taux de marge, ce qui a limité la hausse du chômage et le risque d'apparition de la déflation. Par ailleurs, l'évolution du prix des matières premières, en hausse depuis 2009, a alimenté l'inflation. Cette étude évalue le rôle de l'ajustement du marché du travail et la contribution de la dynamique du prix du pétrole à la dynamique de l'inflation pendant la crise. Nous estimons économétriquement la boucle prix-salaire pour l'Allemagne, la France, l'Italie, l'Espagne, les Etats- Unis, le Royaume-Uni et le Japon. Puis nous montrons, à partir de ces estimations, que si le prix du pétrole avait poursuivi sa tendance haussière après le pic de l'été 2008 et si l'ajustement sur le marché du travail avait été identique à celui des États-Unis dans tous les pays, alors le glissement annuel de l'inflation au deuxième trimestre 2011 serait plus faible : de 0,7 point en France jusqu'à 3,4 points au Royaume-Uni
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